Tous les observateurs ont été frappés de cette constatation. A l’occasion de chaque mise à sac des locaux et appartements des opposants iraniens à Ahmadinejad, les nervis du pouvoir s’acharnaient sur les ordinateurs présents, renversés, piétinés, brisés. Chacun sait à quel point l’Internet, la téléphonie mobile, Twitter, ont été des moteurs de la contestation iranienne née des dernières élections présidentielles dans ce pays.